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dimanche 30 juillet 2006

Deuxième jour - 2

Après cette matinée d'admiration de montagnes il était temps de manger. Pique-nique en hâte, un peu car le ciel était devenu menaçant, beaucoup car il y avait des moustiques qui nous tournaient autour. J'ai malgré tout trouvé bien agréable de manger au milieu de ce paysage.

A gauche de la Grande Casse, la Grande Motte :

Grande Motte et Grande Casse

Le glacier de la Grande Motte (avec un magnifique poteau de téléphérique) :

La Grande Motte

Un paysage que je trouve merveilleux (surtout sur la photo avant redimensionnement accessible en cliquant) :

Paysage

La Grande Casse, avec un ancien lac au pied, maintenant il y a juste une rivière qui y passe :

Lac

Nous avons marché encore un petit moment après le repas, puis nous avons fait demi-tour, alors à une altitude de 2400 mètres environ. Pendant la descente le ciel était tout à tour encourageant puis menaçant, un certain nombre de personnes étaient en train de monter alors qu'il était un peu tard pour ça.

Les marmottes n'étaient pas très peureuses, une d'elles s'est même approchée à environ deux mètres de moi (bien entendu, juste au moment de changer les piles de l'appareil photo...), elle avait commencé par s'éloigner avant de revenir vers moi.

Marmotte

La prairie avec une grande variété de fleurs :

Prairie

Tout en bas la population a changé d'aspect : de randonneurs avec bâton, gros sac à dos, chaussures montantes, c'est passé à des gens en tongs et sans sac à dos. Ils commençaient leur promenade malgré les nuages très menaçants qui emplissaient alors une grande partie du ciel. A peine montés dans la voiture (vers 15 heures 30), un premier coup de tonnerre résonna, voilà ce qui s'appelle profiter à fond du temps imparti...

Venons-en à l'état de mes jambes : rien à signaler. Par contre je commençais à avoir mal aux pieds. A noter aussi un léger coup de soleil, mais j'avais protégé les zones à risque.

mercredi 19 juillet 2006

Deuxième jour - 1

En ce deuxième jour, départ de Laisonnay (altitude 1559 mètres) en direction du col du Palet. Je ne me lassais pas d'admirer le paysage, surtout qu'au fil de la marche certaines parties du décor disparaissaient alors que d'autres apparaissaient.

Peu après le départ, de l'autre côté de la vallée, du vert en premier plan, du gris et du blanc derrière ; la pointe en arrière-plan à gauche est la Pointe de la Glière, 3387 mètres, avec son glacier sur le dessus :

Peu après le départ

Plus tard, après avoir marché vers le haut et vers la gauche :

Plus tard

Cet itinéraire était réputé pour ses jolies cascades nourries directement par des glaciers. Mais ma préférence va à ces sommets de glacier et de rocher, dans une harmonie de couleurs composée surtout de gris et d'un peu de blanc, avec le bleu du ciel ainsi que du vert plus bas :

Harmonie

Vers la gauche sur la photo, la Grande Casse, qui porte bien son nom, avec un sommet vers 3700 mètres :

Grande Casse

La Grande Casse plus loin sur le chemin, avec de la neige qui tient on ne sait comment sur la paroi verticale et qui était cachée sur la photo précédente :

Grande Casse plus loin

Même si je trouve mes photos jolies, la réalité avait quelque chose de plus, il manque sur les photos une impression de grandeur des montagnes...

dimanche 16 juillet 2006

Premier jour - 2

Nous avons visité un peu le village sous la pluie en attendant que le magasin ouvre, en croisant des randonneurs bossus car vêtus d'une cape imperméable qui couvrait leur corps et leur gros sac à dos. Un peu plus tard le temps s'est amélioré, le ciel est même redevenu bleu, nous avons donc pu aller faire une petite promenade dans la montagne toute proche. Je trouvais le paysage beau, mais pas exceptionnel. J'ai observé pendant un moment un écureuil tout noir qui se promenait d'arbre en arbre. Puis une fourmilière géante qui m'a fait me demander si la population d'une fourmilière augmentait constamment, ou si elle finissait par se stabiliser. Je n'ai d'ailleurs pas trouvé de réponse à cette question. Retour après deux bonnes heures de marche (un échauffement pour le lendemain), il faisait chaud, la fin d'après-midi n'est pas le bon moment pour grimper.

Des fleurs :

Fleurs

Et la vallée, c'est Pralognan-la-Vanoise qu'on aperçoit au fond :

Vallée

Le soir je n'ai eu aucun mal à m'endormir, profitant de la fraîcheur dont l'absence avait gâché mes nuits précédentes...

samedi 15 juillet 2006

Premier jour - 1

Je suis partie jeudi matin, je me sentais malade à cause de la chaleur de la nuit, et j'ai donc énormément apprécié de devoir quitter l'autoroute pour une route ombragée de Savoie, ceci afin d'éviter un tunnel en travaux à Chambéry. A l'ombre d'une immense montagne, 20 degrés... le bonheur. Le paysage était vert et montagneux, j'aimerais beaucoup vivre dans un paysage comme celui-là. Puis à la sortie d'un tunnel j'ai découvert le lac d'Aix les Bains, que surplombait une montagne embrumée, encore un joli paysage.

Puis j'ai repris l'autoroute, j'ai eu chaud et il n'y avait plus vraiment de paysage à admirer. La route est devenue de moins en moins large et de plus en plus sinueuse, et après avoir encore admiré quelques montagnes, je suis arrivée à Pralognan-la-Vanoise pour le repas de midi.

Après le repas j'ai troqué ma jupe-spéciale-chaleur-en-voiture contre des habits plus appropriés pour marcher, quand soudain il s'est mis à pleuvoir. La sortie en montagne fut donc repoussée et remplacée par une sortie à l'épicerie...

Vacances à Pralognan-la-Vanoise

Et voilà mes vacances pour cet été 2006 viennent de s'achever. Vous ne saviez même pas que j'étais en vacances ? Normal ça n'a duré que deux jours... J'ai profité du faux pont du 14 juillet pour rejoindre mon père à Pralognan-la-Vanoise, dans le département de la Savoie. J'en suis revenue émerveillée, il y avait là-bas autant de beauté et de fraîcheur qu'il y a ici de chaleur étouffante et de laideur urbaine. Voici deux photos pour illustrer ce contraste.

La vue de là-bas (fortement zoomée) :

Pralognan-la-Vanoise

La vue de chez moi (sans zoom) :

Villeurbanne

Je vais étaler le récit sur quelques jours afin de prolonger les vacances.