Je marchais dans la rue, quand un jeune homme m'a demandé : « Mademoiselle, je peux vous poser une question ? »

Ce qui donna lieu à une profonde réflexion : si je répondais non, alors j'avais perdu parce que je lui avais quand même laissé me poser une question. Mais si je répondais oui, alors il l'avait déjà posée sa question, ça n'allait pas non plus...

Tenant compte de son haleine fortement alcoolisée, j'ai choisi de ne pas répondre.

(Oui, cette histoire ne sert à rien. Ou peut-être à montrer que je n'ai pas oublié l'existence de mon blog ;-) )